Souvent les visiteurs disent qu’ici c’est un petit coin du paradis et ils disent vrai.
Nova-Ouest est située au sud-ouest de la Nouvelle-Écosse au Canada et est baignée par les marées de la baie de Fundy qui se projette dans les eaux du golfe de Maine et s’étend profondément à l’intérieur forestier qui est parsemé de lacs. Nova-Ouest est un endroit qui relie la terre, la mer et le ciel avec un rythme de vie qui laisse dire à ceux qui vivent dans la région « N’est-ce pas que c’est beau? »
Les gens de la région sont concernés et ils ont une bonté et une hospitalité qui sont connues de près et de loin.
Les régions de Nova-Ouest possèdent une variété de caractéristiques telles que des falaises, des plages, des havres et des anses, des lacs, des rivières, des chutes, des vallées, des montagnes, des forêts, des champs, des vergers, des villes et des villages.
L’histoire culturelle de Nova-Ouest est très diverse à partir de son premier peuple, les Mi’kmaq, aux explorateurs français du début des années 1600, aux colons français, anglais et noirs des années 1600, 1700, et 1800; continuant d’être enrichie par l’immigration récente, Nova-Ouest est fière de tout cela.
La vallée de l’Annapolis, est située au sud de la baie de Fundy dans le sud-ouest de la Nouvelle-Écosse et est une terre fertile qui est située entre les montagnes du nord et du sud. Elle s’étend à l’ouest pour un peu plus de 100 kilomètres à partir du bassin des Mines au côté est jusqu’au bassin d’Annapolis à l’ouest. La partie de la circonscription de Nova-Ouest qui est dans la vallée s’étend de Cambridge, comté de Kings, à la ville d’Annapolis Royal.
Le sol de la vallée est parsemé d’immenses granges, de silos et de maisons de ferme qui racontent avec fierté l’histoire des familles qui y ont travaillé. Des villes et des villages pittoresques à travers la longueur de la vallée fournissent des services et des commerces dans un paysage tranquille. Quelques résidents de la vallée peuvent retracer leurs ancêtres au peuple Mi’kmaq, aux Acadiens et aux « Planters »de la Nouvelle-Angleterre qui furent encouragés par les Anglais à développer et cultiver les terres qui furent confisquées des Acadiens au milieu du 18e siècle.
L’industrie de base dans la vallée a toujours été et reste reliée à l’agriculture diversifiée. D’ailleurs la vallée met l’accent sur le tourisme, ainsi que sur la base canadienne de la Force aérienne de BFC Greenwood qui fourni une patrouille côtière vitale aux Maritimes, à la souveraineté de l’arctique et aux rôles de recherche et de sauvetage. En plus il y a le NSCC «Nova Scotia Community College», un collège d’études géographiques, à Lawrencetown qui est connu à travers le monde pour la qualité supérieure de ses finissants et il y a aussi la levée d’Annapolis où se trouve la seule usine marémotrice en Amérique du Nord.
Baie de Fundy, Le littoral de la baie de Fundy s’étend du rivage sud de la baie de Fundy, à partir du village de Canada Creek à l’extrémité nord-est du comté de Nova-Ouest jusqu’au village de Victoria Beach au détroit de Digby Gut.
Beaucoup d’habitants qui vivent le long du rivage retracent leurs ancêtres aux familles du Yorkshire en Angleterre qui sont arrivées sur 4 navires dans le milieu des années 1770.
Les moyens d’existence de cette région peuvent être liés à la forêt mais surtout à la mer. La plupart des anses navigables sont munies de brise-lames pour les vagues venant des vents nord-ouest. L’amarrage des vaisseaux accommode les changements de la marée qui est la plus haute au monde et quand la saison du homard est fermée, les pièges sont entassés en hauteur près des quais et dans les cours des pêcheurs aux homards.
Les caractéristiques de cette rive sont qu’elle est formé de laves refroidies qui provient de la montagne du nord, et qui plonge dans la baie. La montagne est couverte de forêt surtout de bois mous et la rive met en évidence les plages rocheuses, les petites anses, et à beaucoup d’endroit, des falaises abruptes. Comme à d’autres rivages faisant face à l’ouest dans Nova-Ouest, la rive de la baie de Fundy est renommée pour ses couchers de soleil spectaculaires sur l’eau.
Le bassin d’Annapolis est la partie la plus large du bout ouest de la rivière Annapolis. L’explorateur français, Champlain, est arrivé au bassin pour la première fois en 1604. Là, lui et son équipage se sont fait amis avec le peuple autochtone Mi’kmaq et son chef, Membertou. De retour en 1605, les Français construisirent leur « Habitation » à Port-Royal pour établir l’une des colonisations européennes les plus vieilles en Amérique du Nord.
Le peuple acadien suivit, en fermant et en pêchant le long des rives du bassin. Le conflit entre les Français et les Anglais causa beaucoup de batailles au fort Anne à Annapolis Royal ce qui résultat à la victoire des Anglais en 1710. En 1755 les Acadiens furent chassés de leurs terres et furent remplacés par les « Planters » de la Nouvelle-Angleterre. Après la révolution américaine des Loyalistes et des mercenaires allemands s’ajoutèrent aux « Planters » dans la région.
L’agriculture, la coupe du bois, la construction de navire, et le commerce marin ont contribué à la prospérité des années 1800. Aujourd’hui, Digby est le port de la flotte de navires à pétoncles, le parc Cornwallis est l’hôte d’industries à la fine pointe de la technologie, Bear River a son artisanat et un vignoble nouvellement planté, et Annapolis Royal a son histoire, les jardins historiques, et la seule usine marémotrice en Amérique du Nord. Le tourisme est abondant à cause de l’histoire intrigante et de la beauté de la région.
Digby Neck et les îles, À partir du phare Point Prim Light sur Digby Gut jusqu’à Western Light sur l’île Brier, Digby Neck et les îles sont composés d’une longue projection de roches mesurant 95 kilomètres qui semble se jetée vers le golfe du Maine. Cet attrait côtier est crée par la même formation géologique qui forme la montagne du nord et qui plonge graduellement dans la mer au sud-ouest. Le Neck et les îles sont recouverts de bois mous et la plus grande partie de la côte est entourée de falaises élevées parsemées d’anses et de havres protégés qui soutiennent une pêche active.
Cette région est une des favorite des naturalistes et des enthousiastes du plein air parce qu’elle détient une abondance d’oiseaux marins, d’oiseaux migrateurs, de sentiers pédestres, et une beauté rugueuse de la terre rejoignant la mer rejoignant elle-même le ciel. À part le pêche, l’industrie de Neck et des îles obtient un autre revenu grâce à la mer par des croisières d’écotourisme qui peuvent être pour l’observation des baleines ou pour l’observation des espèces d’oiseaux marins qui sont rarement vues près de la terre.
Pour accéder à l’île Longue et ensuite à l’île Brier, on doit traverser le petit passage et le grand passage par traversier provincial. Le trajet est excitant parce que le courant sagittal entre la baie Ste-Marie et la baie de Fundy est fort puissant et le traversier y va à sa rencontre. Ces passages et le détroit de Digby Gut ont été choisis comme étant les meilleurs sites du Fundy pour installer la plus récente génération de turbine marémotrice géante. Digby Neck est aussi documenté comme étant un site supérieur pour la production d'énergie éolienne et qui se vante d'avoir une grande éolienne et deux turbines pour desservir la consommation locale.
La région de la Baie St. Marie, la région de Weymouth fut établie à la fin des années 1700 par les Loyalistes, les Loyalistes Noirs, et les Acadiens. En premier les colons furent attirés aux berges de la rivière Sissiboo par la pêche. Ensuite, c’étaient l’exploitation forestière, la construction navale et l’industrie du transport maritime qui ont maintenu Weymouth et les communautés environnantes qui longent la baie Ste-Marie jusqu’au milieu des années 1900.
Jusqu’aux années 1920, les eaux de la baie Ste-Marie étaient utilisées comme route de transport. Ceux qui vivaient le long du rivage et ceux de Digby Neck voyageaient souvent par bateau pour acheter et se réapprovisionner à Weymouth. Un terrible feu en 1929 a détruit la majorité du centre-ville commercial de Weymouth, un événement dont la ville ne s’est jamais rétablie. Des fermes de visons firent leur apparition au début des années 1950 et ceci a permis le maintien de l’économie après l’effondrement de l’exploitation forestière et de l’industrie du poisson.
Riche en histoire, de beaux paysages, et des opportunités de récréation ont tous contribué à l’essor du tourisme dans la région depuis quelques années. La route de Weymouth à Brighton passe par des propriétés qui plongent vers la mer et ainsi offrent des vues magnifiques, spécialement à Gilbert’s Cove et au parc provincial Savary. (Écrit par Karla Keely de Weymouth nord).
La région de Clare, les communautés côtières et forestières de la région de Clare, sont souvent surnommées la Baie Sainte-Marie, un rivage franco-acadien, qui longe la baie Sainte-Marie sur 50 kilomètres entre Saint-Bernard et la Rivière-aux-Saumons. La langue parlée par beaucoup de gens de cette région ressemble au français du 17e siècle avec une tournure du Nouveau Monde. Le drapeau tricolore acadien avec l’étoile jaune est fièrement affiché dans toute la région.
Les brise-lames, les quais, les bateaux, les installations pour la préparation du poisson sont témoins de l’importance de la mer pour ses habitants. Le chantier naval privé de La Butte est l’un des plus grands dans les Maritimes, fabriquant des navires de style traditionnel et sur mesure pour les gouvernements et les entreprises privés, servant aux besoins maritimes locaux et utilisant des technologies de pointe pour des contrats internationaux. Les produits de poissons de Clare sont vendus partout au monde.
La région de Clare est riche en talent acadien et est l’hôtesse d’une grande variété de festivals et d’événements culturels tels que « Musique de la Baie », le festival acadien de Clare, le Festival « Bluegrass » de Clare et l’exposition de courtepointe de l’église Sacré-Cœur. Clare est aussi l’enceinte d’une communauté artistique vibrante. La seule université francophone de la Nouvelle-Écosse, l’université Sainte-Anne, se trouve à la Pointe-de-l’Église et elle attire des étudiants et des professeurs de partout à travers le monde.
Clare est un endroit avec des industries vibrantes, des divertissements colorés, des fruits de mer frais et une culture unique avec une hospitalité chaleureuse.
La région de Yarmouth est le portail ouest de la Nouvelle-Écosse grâce à ses installations portuaires internationales à l’extrémité ouest de la province.
La région de Yarmouth fut établie au milieu des années 1700, surtout par des familles immigrantes de la Nouvelle-Angleterre. Beaucoup d’entre elles vivaient de la terre, faisant la sylviculture, l’agriculture, et la construction navale. Le commerce par mer était dominant, en premier avec les grands voiliers pendant le 19e siècle et puis au début des années 1900 par le bateau à vapeur. La collection du musée du comté de Yarmouth est majoritairement axée vers cette période nautique.
Les communautés rurales à l’intérieur sont logées parmi les collines forestières, les champs et les ruisseaux. La côte de la région de Yarmouth alterne entre des belles plages sablonneuses, des estuaires, des petites falaises, et des petits havres de pêche qui sont très photogéniques.
La ville de Yarmouth est le centre d’activités commerciales du comté « Tri-Counties » de l’ouest de la Nouvelle-Écosse. Cette communauté est vibrante grâce à des services professionnels et au détail, à un centre gouvernemental, aux transports marin et terrien, à un centre de convention, au soin de santé, à l’éducation, à l’industrie légère, et à un port pour le poisson. Yarmouth et la région jouent un rôle important pour l’industrie du tourisme en Nouvelle-Écosse avec son traversier qui la relient à la Nouvelle-Angleterre et à un aéroport substantiel.
La région d'Argyle, la municipalité qui est connue comme Argyle longe le rivage le plus à l’ouest de la Nouvelle-Écosse où le golfe du Maine rencontre l’Atlantique. Au long de cette côte des longs doigts de la mer coulent dans les terres basses et créent des estuaires marécageux et des havres protégés. Au début de l’agriculture dans cette région, les récoltes abondantes de foins étaient convoitées pour le bétail en hiver. Aujourd’hui, l’industrie du homard dans cette région est la plus productive en Amérique de Nord et celle-ci ainsi que d’autres pêches dominent le commerce de cette région.
La région d’Argyle a vu son premier colon européen venir de France en 1635 mais elle a été nommée par le Seigneur Argyle, un Écossais, en l’honneur de sa mère patrie lorsqu’il y reçu une concession de terre en 1766. La culture d’Argyle est basée sur les traditions acadiennes des familles francophones qui y sont retournées à la fin des années 1700 après la confiscation de leurs terres en 1755.
Aujourd’hui, le français est prédominant en Argyle; soixante-dix pour cent des gens qui sont des Acadiens.
Au milieu de la municipalité d’Argyle on trouve les villages qui s’appellent les « Argyles ». Ces communautés ont été fondées par les « Planters » de la Nouvelle-Angleterre qui sont arrivés dans la région en 1760.
Argyle est un endroit de « premières » et de contrastes. Par exemple, dans le village de Tusket on peut trouver le plus vieux palais de justice et prison, tout près de la pointe Dennis se trouve la plus grande ferme d’éoliennes en Nouvelle-Écosse, et Wedgeport est la capitale mondiale du sport de la pêche au thon.
Les montagnes forestières occupent toute la région de la circonscription électorale Nova-Ouest qui est à l’intérieur des portions habitées le long des côtes de la baie de Fundy et du golfe du Maine.
Cette région est recouverte d’une variété d’espèces d’arbres qui forme la forêt acadienne, un mélange d’arbres à bois mous et durs. L’industrie forestière est prédominante ici par la cueillette, le transport, la coupe du bois, et la sylviculture.
Lorsqu’on regarde sur une carte ou qu’on observe de l’air, on réalise qu’à part la forêt il s’y trouve une richesse en lacs et courants d’eaux. Le tourisme et la récréation sportive sont partout dans cette région montagneuse qui abrite des pavillons de chasse, des chalets privés, du camping, du canotage, de la pêche, et de la chasse. Les communautés des environs sont dédiées à leurs environnements et sont situées le long des routes provinciales qui passent dans la région. Les chemins forestiers abondent dans l'arrière-pays et sont ouverts à voyager.
À l’intérieur il y a des grandes régions qui sont réservées par les gouvernements. Le gouvernement fédéral gère le parc national Kejimkujik. Le gouvernement provincial gère les régions « Tobeatic Wilderness Area » et « Tobeatic Wildlife Management Area » pour la préservation de l’écosystème des régions montagneuses forestières, unique en leur genre en Nouvelle-Écosse.